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Football: FC Bouaké aux commandes de la Ligue 1 ivoirienne de football, en attendant Africa-Afad, jeudi

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Le nouveau promu, FC Bouaké victorieux de la SOA (3-1), mercredi soir, en ouverture de la 5è journée de la Ligue 1 de football, s’installe provisoirement dans le fauteuil de leader avant l’affiche de la journée, Africa-Afad, en nocturne, jeudi, au Stade Robert Champroux de Marcory.En déplacement au stade de la Paix de Bouaké, les militaires de la Société Omnisports de l’Armée (SOA) n’ont pu éviter les coups de canon de l’équipe locale, FC Bouaké qui a dicté sa loi à des soldats en manque de ‘’munitions” (3-1). 

Un succès qui propulse les Bouakéens en tête du classement avec 12 pts  avant le derby des leaders entre l’Africa (10 pts) et l’Afad (10pts) prévu pour  jeudi à 18h30  (GMT et heures locales) au stade Robert Champroux.

De son côté, le Stade d’Abidjan a surpris l’ASI d’Abengourou à domicile (2-0) pour assurer sa deuxième victoire d’affilée quand Bassam, le deuxième promu, a triomphé de l’AS Tanda (1-0).

La 5è journée prend fin ce jeudi avec outre le derby Africa-Afad, l’Asec Mimosas en première rencontre au stade Champroux, croisera le fer avec Moossou FC à 15h30 (GMT et heures locales)

Le WAC, en déplacement, défiera le Sporting de Gagnoa sur ses bases quand San-Pedro abritera le duel fratricide entre le Séwé Sport et San-Pedro FC.

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Zimbabwe, économie et CHAN, sujets phares de la presse électronique en Guinée

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La presse électronique guinéenne a abordé, ce jeudi, un menu diversifié allant de la crise politique qui prévaut depuis 48 heures à Harare, au Zimbabwe à la composition des chapeaux pour le tirage au sort des groupes du Championnat d’Afrique des nations (CHAN), en passant par la levée des fonds pour soutenir le plan national de développement de 1,3 milliards de dollars pour la Guinée « Zimbabwe : l’UA demande à l’armée de cesser immédiatement son action », révèle Mosaiqueguinée.

« L’Union africaine condamne avec la plus grande fermeté ce qui apparaît comme un coup d’État et réitère son soutien total aux institutions légales du pays », a-t-il ajouté.

« La Guinée à Paris pour lever des fonds afin de doper sa croissance », rapporte Africaguinée.

Selon ce site, la Guinée rencontre, ce jeudi à Paris leurs partenaires publics et privés pour lever des fonds afin de soutenir leur plan national de développement de 13,7 milliards de dollars qui doit permettre de doper la croissance d’ici 2020, note-t-il.

« CHAN 2018 : la Guinée versée dans le pot 2 avant le tirage au sort », titre Guinéenews.

Selon ce site, la Commission d’organisation du Championnat d’Afrique des Nations (CHAN), a validé, la procédure du tirage au sort prévu, ce vendredi, au Maroc.

Le Syli local, classée quatrième lors de la précédente édition au Rwanda, poursuit-il, est dans le Pot 2, en compagnie du Cameroun, du Nigeria, de la Zambie :

« De même, la commission d’organisation a validé le calendrier du tournoi final qui va disputer du 13 janvier au 4 février 2018 dans les villes suivantes : Casablanca (groupe A), Marrakech (groupe B), Tanger (groupe C), Agadir (groupe D) », a-t-il précisé.

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Catastrophe d’Eseka : Camrail à la barre

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Jeune Afrique | Présent pour la première fois à une audience du tribunal de première instance d’Eseka, le 8 novembre, Didier Vandenbon, l’ex-directeur général de Camrail, a fait face aux parties civiles et aux rescapés de la catastrophe ferroviaire du … Continue reading

Isabel dos Santos limogée de la présidence de la compagnie pétrolière nationale angolaise

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Isabel dos Santos limogée de la présidence de la compagnie pétrolière nationale angolaise

Le nouveau président angolais Joao Lourenço a annoncé mercredi avoir limogé la PDG de la compagnie pétrolière nationale Isabel dos Santos, fille de l'ex-chef de l'Etat José Eduardo dos Santos et symbole du népotisme reproché &agr

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Cameroun: à Bamenda, couvre-feu nocturne et psychose des violences

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Il est 20H00. Dans la nuit, à Hospital Roundabout, l’un des endroits habituellement les plus animés de la ville de Bamenda (ouest du Cameroun), quelques bars diffusent encore de la musique, attirant ses derniers clients de la journée.

“Nous respectons le couvre-feu, nous allons fermer bientôt!”, prévient une serveuse, pour prévenir d’une ultime commande.

Bamenda, ville réputée frondeuse et épicentre de la grave crise qui secoue depuis fin 2016 la région anglophone du pays, est désormais synonyme de couvre-feu de 22H00 à 05H00. Et pour les populations, de psychose et peur des violences.

Les autorités ont imposé la mesure le 8 novembre, après le meurtre de trois gendarmes par des séparatistes présumés. Un autre gendarme a été tué depuis lors. Quatre bombes artisanales ont explosé – sans faire de victime – en début de semaine à Bamenda, dont l’une à Hospital Roundabout. C’est la troisième explosion du genre à ce carrefour ces derniers mois.

A mesure qu’approche l’heure fatidique des 22H00, les bars se vident progressivement. Des taxis embarquent les derniers clients. En bord de rue, dans la fumée étouffante des braseros, vendeurs de poisson et de viande “braisée” s’activent pour écouler leurs marchandises. “Il faut faire vite et partir pour éviter des ennuis avec la police”, prévient Viviane, devant ses poissons encore alignés sur les charbons ardents.

“Nous apprêtons moins de poisson maintenant. On commence tôt pour finir tôt, au trop tard à 21 heures 30″, explique la jeune femme, qui confie vivre “dans la peur parce qu’il y a l’insécurité”.

-’Ne pas être interpellé’-

En une année de crise, la situation sécuritaire s’est considérablement dégradée dans les villes des régions du Nord-ouest (dont Bamenda – environ 300.000 habitants – est la capitale) et du Sud-ouest, qui abritent la minorité anglophone du Cameroun (20% de la population).

Le quotidien des populations y est désormais rythmé par les violences, malgré l’omniprésence des forces de sécurité: incendies volontaires de commerces et d’écoles, arrestations, bombes artisanales, et, aujourd’hui, assassinats. Des leaders sécessionnistes en exil, à l’image du “camarade” Ayaba Cho Lucas, appellent désormais ouvertement au “combat” pour répondre “aux balles et au mépris de l’occupant”, alors que “le monde reste silencieux”.

A Bafut, bastion séparatiste à une vingtaine de kilomètres de Bamenda, quatre chambres d’un dortoir de la Presbyterian school of science and technology, une école protestante, ont été incendiés mardi. C’est au niveau d’un poste de contrôle près de Bafut qu’a été abattu l’un des quatre militaires tués la semaine dernière.

A Bamenda, personne ou presque n’évoque leur sort. Mais nombreux sont les habitants qui dénoncent les “exactions” des forces de l’ordre.

“Ils (policiers et gendarmes) sont violents avec nous autres anglophones”, s’offusque un quincaillier de la ville.

“Ils cassent les maisons pour arrêter les gens. Même quand tu n’as rien fait, on te traîne au poste que tu sois muni d’une carte d’identité ou pas”, accuse-t-il. “Si tu paies, on te libère. Sinon, on te garde”. D’autres témoignages abondent dans le même sens.

Clarkson, un autre habitant, est venu commander rapidement quelques brochettes dans les échoppes de Hospital Roundabout. “Dès que je suis servi, je retourne vite à la maison pour ne pas être interpellé”.

Ici, la police “peut t’arrêter maintenant et écrire sur son procès-verbal que tu as été interpellé à minuit”, accuse-t-il. “Je vis dans la peur, je me sens en insécurité parce que la police qui doit nous protéger nous agresse plutôt”, s’enflamme-t-il.

Dans la journée, à Food Market, un grand marché de la ville, les moto-taxis ont les nerfs à vif. La présence de journalistes est vue avec méfiance, la vue d’une caméra suscite une immédiate hostilité. Selon les habitants, les arrestations sur simples dénonciations se sont multipliées dans la ville, exacerbant un peu plus la colère des populations.

Policiers et gendarmes multiplient points de contrôle et patrouilles pendant la nuit. De même que les descentes dans les quartiers supposés héberger des radicaux, avec leurs lots de perquisitions et d’arrestations.

Dans la ville, beaucoup semblent désormais adhérer au séparatisme, faisant craindre une intensification des actes de violences. “Il n’y a pas de réconciliation possible. Nous voulons la séparation”, tranche ainsi un habitant.

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Crise anglophone : Sissiku Ayuk Tabe se dit prêt à mourir

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Le président de l’Etat virtuel d’Ambazonie l’a déclaré au cours d’un entretien accordé à une chaîne de télévision internationale.

Ce jeudi 16 novembre 2017, la chaîne de télévision française France 24 a diffusé un reportage intitulé « Cameroun : l’Ambazonie, la République fantasmée des séparatistes anglophones ». Le récit de Patrick Fandio, journaliste français d’origine camerounaise, fait parler une victime des violences nées des revendications des populations du Nord-Ouest et du Sud-Ouest du Cameroun. Aline, 14 ans, touché à l’œil droit à Kumbo (Sud-Ouest) lors des manifestations du 01er octobre, plante le décor d’une agressivité motivée par la volonté ferme d’obtenir la sécession souhaitée par une partie des ressortissants des régions anglophones du pays.

Le reportage diffusé sur la chaîne française donne alors la parole à un sécessionniste exacerbé. Vincent Jumbam défend les idéaux et surtout les couleurs de l’Ambazonie. Interviewé à son domicile, l’activiste, entouré des drapeaux du pays virtuel, défend que « nous devons avoir notre propre armée qui devra prendre en charge nos affaires. Ici, dans nos communautés, nous nous tenons aussi prêts à toute éventualité. Nous n’attendons plus que des instructions. Nous avons toujours la République du Cameroun sur notre territoire. Nous devons examiner toutes les possibilités pour les chasser de chez nous pour que nous puissions gérer notre économie, gérer nos administrations et nous occuper de nos propres affaires ».

Ces instructions dont parle Vincent Jumbam, les partisans de la sécession du Cameroun les attendent de Sissiku Ayuk Tabe, qui se présente comme « le président de la République fédérale d’Ambazonie ». L’homme contre lequel l’Etat du Cameroun vient d’émettre un mandat d’arrêt international abonde dans le sens de Vincent Jumbam et promet : « Nous allons nous séparer. Nous avons retrouvé notre indépendance. Nous n’allons que discuter des termes de notre cette séparation et puis nous allons bâtir un pays magnifique que je vous invite à venir voir dans quelques années pour que chacun puisse être témoin de ce que nous disons aujourd’hui ».  Pour parler de son engagement, Sisiku Ayuk Tabe  prévient que l’option militaire n’est pas à exclure dans sa quête pour la séparation des deux régions anglophones du reste du Cameroun. « C’est une option, oui. C’est la lutte pour laquelle je suis prêt à vivre, je suis prêt à combattre, je suis prêt à mourir…», conclut le leader anglophone, que Patrick Fandio est allé chercher au Nigeria.

 

 

 

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Another Diplomatic Red Feather

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[Cameroon Tribune] The 60th Commonwealth Parliamentary Association, CPA, meeting in Cameroon from 2-10 October, 2014 ended in a sterling success with over 600 delegates from all nine regions of the Commonwealth returning home fully satisfied. The event also ended with Dr. Shirin Sharmin Chaudhury, MP and Speaker of Bangladesh Parliament elected CPA Chairperson of CPA Executive Committee for the next three years.


Exploitation of Oil/Raw Materials – African Countries Always At Losing End

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[Cameroon Tribune] Prof Grégoire Biyogo made the pronouncement recently, while presenting a study in the presence of Littoral Governor.

L’EI ne tient plus que de petites zones en Irak et Syrie

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Les forces irakiennes ont repris vendredi Rawa, dernière localité qui était encore sous le contrôle du groupe Etat islamique (EI) en Irak.

La coalition antijihadistes conduite par les Etats-Unis avait indiqué plus tôt cette semaine que l’EI avait perdu 95% des territoires qu’il avait conquis en 2014 en Syrie et en Irak.

Loin des larges pans de territoires dont ils s’étaient emparés cette année-là, les jihadistes possèdent encore la localité de Boukamal en Syrie, à la frontière avec l’Irak, et quelques zones désertiques de part et d’autre de la frontière poreuse entre les deux pays.

– En Irak –

Après la reprise de la localité de Rawa, située près de la frontière syrienne dans le désert occidental, les forces irakiennes continuent de ratisser de larges pans du désert le long de la frontière avec la Syrie pour en chasser les derniers jihadistes.

Le 3 novembre, les forces irakiennes avaient déjà chassées l’EI d’Al-Qaïm, gros bourg désertique à une dizaine de km de la frontière. Le même jour, elles avaient aussi repris le contrôle du poste-frontière reliant Al-Qaïm à la Syrie.

Selon un expert irakien, les jihadistes tiennent moins de 5% du territoire irakien.

« Ce qui a été libéré ce sont des zones délimitées administrativement et peuplées. Mais les oueds, les oasis, les étendues désertiques vides qui toutes ensemble représentent 4% du territoire irakien, sont encore entre les mains de l’EI », explique Hicham al-Hachemi.

– En Syrie –

La dernière ville dans laquelle sont encore présents les jihadistes en Syrie est Boukamal, située tout près de la frontière irakienne.

Ils avaient perdu le 3 novembre la grande ville de Deir Ezzor, plus au nord, dans la province du même nom.

Les forces du régime ont lancé jeudi une offensive pour reprendre Boukamal où des combats continuent de s’y dérouler, alors que l’armée russe, alliée de Damas, bombarde les jihadistes depuis les airs.

L’armée syrienne avait annoncé le 9 novembre avoir conquis Boukamal mais les jihadistes avaient réussi quelques jours plus tard à en reprendre le contrôle.

L’EI contrôle toujours 25% de la province de Deir Ezzor, riche en pétrole, selon l’Organisation syrienne des droits de l’Homme (OSDH). Dans cette province, les jihadistes tiennent aussi plusieurs villages et au moins un champ pétrolier, selon l’OSDH.

Outre l’offensive des forces du régime, l’organisation ultra-radicale est confrontée dans cette province à une offensive de combattants kurdes et arabes des Forces démocratiques syriennes (FDS), soutenus par la coalition emmenée par les Etats-Unis.

Ailleurs en Syrie, l’EI est présent dans les quartiers de Yarmouk –-qui est en fait un camp de réfugiés palestiniens-— et celui de Hajar al-Aswad, tous deux dans le sud de la capitale. Il contrôle également de petits territoires dans la province de Homs (centre-ouest) et la région de Deraa (sud).

burx/vl

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Hariri s’apprête à quitter Ryad mais la crise reste entière

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Attendu samedi à Paris, le Premier ministre libanais démissionnaire Saad Hariri s’apprêtait vendredi à quitter Ryad où il est retenu contre sa volonté selon Beyrouth, mais la crise provoquée par sa démission choc reste entière.

La France, ancienne puissance mandataire du Liban, a joué les médiateurs et le président Emmanuel Macron a invité à Paris M. Hariri et sa famille “pour quelques jours”, pour sortir de l’impasse née de sa démission surprise annoncée le 4 novembre à Ryad. Une invitation acceptée par M. Hariri avec l’accord du parrain saoudien.

Jeudi, la présidence française a confirmé “la venue en France de Saad Hariri et la rencontre avec le président de la République samedi à l’Elysée”.

Le même jour, le chef de la diplomatie française Jean-Yves Le Drian rencontrait à Ryad le roi Salmane et M. Hariri qui a confirmé qu’il se rendrait “très bientôt” en France, sans préciser de date.

La déclaration de M. Hariri, un protégé de l’Arabie saoudite et détenteur de la nationalité saoudienne, est intervenue après que le chef de la diplomatie saoudienne Adel al-Jubeir a assuré qu’il était libre de quitter Ryad “quand il veut”.

Aucune précision n’a été donnée du côté saoudien sur la date du départ de M. Hariri alors que des membres de son entourage à Beyrouth, interrogés par l’AFP, se sont refusés à tout commentaire. “Nous sommes dans l’expectative”, a dit l’un d’eux.

Dans une déclaration télévisée depuis Ryad, M. Hariri a annoncé sa démission en invoquant la “mainmise” du Hezbollah libanais soutenu par l’Iran sur la vie politique au Liban et des craintes pour sa vie, au moment où Ryad fulminait contre les ingérences prêtées au rival iranien dans la région.

- Risque d’escalade ? -

Des spéculations et des informations ont ensuite circulé sur une interdiction de M. Hariri de quitter le royaume saoudien après avoir été “contraint” à la démission. Le président libanais Michel Aoun a ensuite dit qu’il le considérait “en captivité” à Ryad avant le rejet de ces accusations par M. Jubeir.

Pour plusieurs médias libanais, si M. Hariri confirme sa démission, la crise s’aggraverait au Liban.

“La question de la sécurité de M. Hariri est sur le point d’être réglée, c’est la question de politique de fond qui devrait désormais prendre la vedette”, écrit le quotidien francophone L’Orient Le Jour.

“La peur que la crise s’aggrave est toujours là”, renchérit le journal An Nahar.

M. Aoun attend le retour de M. Hariri au Liban pour se prononcer sur sa démission. En cas de confirmation de la démission, le président devra charger le gouvernement de gérer les affaires courantes jusqu’à la nomination d’un nouveau Premier ministre.

Parmi les conséquences d’une crise prolongée au Liban figure le risque d’un nouveau afflux de réfugiés en Europe, évoqué jeudi par le ministre libanais des Affaires étrangères Gebrane Bassil.

“La déstabilisation du Liban aurait des conséquences sur les déplacés et réfugiés présents au Liban qui seraient alors dans une situation encore plus fragile et se tourneraient vers l’Europe”, a-t-il dit à Berlin.

- L’Iran critique la France -

Le Liban abrite quelque 1,5 million de réfugiés du conflit syrien, et l’Europe veut à tout prix éviter que ceux-ci partent vers l’Ouest, provoquant une nouvelle crise migratoire.

M. Bassil a prévenu aussi qu’en cas d’ingérence étrangère, son pays risquait de connaître le même sort que la Syrie voisine, ravagée par une guerre civile complexe où l’implication militaire du Hezbollah auprès du régime divise le Liban.

Lors de sa conférence de presse jeudi, le chef de la diplomatie saoudienne a tenu des propos très durs contre le Hezbollah. “C’est une organisation terroriste de première catégorie”, a-t-il soutenu, en l’accusant d’avoir “pris en otage l’Etat au Liban, d’y avoir bloqué le processus politique et d’être devenu un instrument aux mains” de l’Iran.

A ses côtés, M. Le Drian a déclaré que la France était “inquiète” de la “tentation hégémonique” de l’Iran au Moyen-Orient.

L’Iran a répliqué vendredi. “Malheureusement, il semble que la France a un regard partial et partisan sur les crises de la région et cette approche, volontairement ou involontairement, aide même à transformer des crises potentielles en crises réelles”, ont dit les Affaires étrangères à Téhéran.

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Cameroun : le palais de l’Assemblée nationale en cendres [+vidéo]

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APAnews | Le palais de l’Assemblée nationale du Cameroun, sis au quartier Ngao Ekellé à Yaoundé, la capitale, a été complètement réduit en cendres jeudi, vers 23 heures (heure locale), après un incendie qui s’y est déclaré un peu plus … Continue reading

Breaking: Nigerian officials have stolen $20.2 billion oil money in just 18 years, human rights lawyer Femi Falana says

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Nigerian human rights lawyer Femi Falana on Wednesday accused the Nigerian National Petroleum Corporation (NNPC) of failing to remit over $20.2bn since the return of democracy in 1999 to date.<⁄span><⁄span>

L’outil innovant pour les agences de marketing digitales

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Premier bilan de l’incendie ayant dévasté l’Assemblée nationale

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237online | Un grave incendie s’est déclaré aux environs de 22h dans la nuit du 16 novembre 2017, ravageant totalement une partie des services administratifs de l’Assemblée nationale située au quartier Ngoa-Ekelle à Yaoundé. Le feu s’est déclenché au 7e … Continue reading

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Assemblée nationale du Cameroun : l’incendie était de « catégorie A »

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Au lendemain de l’incendie qui a ravagé un des bâtiments de cette institution, de nouveaux éléments permettent de mieux comprendre ce qui s’est produit.

C’est une ambiance inhabituelle qui prévaut au Palais des verres de Ngoa Ekelle en cette matinée du 17 novembre 2017. Dès l’entrée, treize hommes en tenue filtrent les déplacements. Ce sont les éléments du commissariat public du 5e arrondissement de Yaoundé, et ceux de la brigade de gendarmerie de Mvog-Betsi. Pas de place pour les curieux, il faut justifier sa présence sur les lieux pour rentrer dans l’enceinte de l’édifice.

Sur la cour de l’Assemblée nationale du Cameroun, les membres du personnel sont rassemblés en face du bâtiment détruit. Le choc de la nouvelle est peut-être passé, mais l’émotion reste forte. Les travaux des députés ont été suspendus. Personne n’a pu regagner son poste de travail. « Nous ne pouvons pas travailler, vous-même vous voyez la situation », affirme une employée de l’institution. A la cellule de communication pourtant, on note une activité débordante. Le sous-directeur chargé de la communication est en train de rédiger un document, et il ne reçoit personne. Il renseigne tout de même le reporter de journalducameroun.com : « Nous sommes en train de préparer le communiqué de presse, il sera prêt avant 15 heures ». Ce sera la première déclaration officielle, à la suite de cet incident.

Des cadres du RDPC sur les lieux

Sur le lieu du sinistre, le cordon de sécurité est toujours en place. Les soldats du feu sont toujours en action. Ils effectuent les opérations de déblais, nous renseigne-t-on. Certains d’entre eux présentent des signes de fatigue. Ils se reposent, assis sur l’une des pelouses de l’institution. Sous anonymat, l’un d’entre eux nous explique la situation. « On a travaillé toute la nuit, les éléments sont fatigués (…) Les incendies sont classés en catégories A, B, C et D, en fonction de la nature des éléments qui se consument. Pour ce cas, il s’agit de la catégorie A. On a eu droit à un feu sec, amplifié par la nature des éléments qui brûlaient. Vous savez des bureaux, c’est du papier, du bois…des produits hautement inflammables », affirme-t-il.

Plus loin, des cadres du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) font le tour du bâtiment. Dans la délégation, on peut remarquer le secrétaire général de ce parti, Jean Kuete, l’ancien recteur de l’université de Douala, Dieudonné Oyono, ainsi que Paul Célestin Ndembiyembe, le secrétaire à la formation politique et à la prospective. Avant eux, la vice-présidente de l’Assemblée nationale Mme Monjowa Lifaka s’était entretenue avec ses collègues présents. Chaque arrivée de voiture est scrutée à la loupe par les journalistes.

Selon des indiscrétions, les enquêtes auraient été ouvertes pour déterminer les causes de cet incendie, et aucune piste ne serait exclue, même si le ministre de la Communication affirme que le drame de jeudi dernier est accidentel.

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Ministère de la défense russe: le Fake n’était qu’une erreur technique

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La presse occidentale s’est fait un plaisir de souligner l’erreur de communication, particulièrement grave, du ministère russe de la défense illustrant des accusations portées contre les Etats Unis de protéger un convoi de terroristes en Syrie le 9 novembre. Guerre … Continue reading

Concours : Les résultats des admissibilités à l’Enam annulés

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CAMEROUN :: Concours : Les résultats des admissibilités à l’Enam annulés :: CAMEROON

Le ministre de la Fonction publique affirme qu’il y a eu violation de la réglementation en matière de gestion des concours administratifs.

L'Ecole nationale d’administration et de magistrature (Enam) est secouée depuis le 9 novembre dernier par une crise autou

Cameroun :: Humanitaire : Vers la construction à Mora d’une Superette Solidaire pour veuves et orphelins des soldats tombés contre Boko Haram

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Cameroun :: Humanitaire : Vers la construction à Mora d’une Superette Solidaire pour veuves et orphelins des soldats tombés contre Boko Haram :: CAMEROON

Fruit du projet « Solidaire » de la Camerounaise Françoise Etoa la présidente du Cercle des enfants pour la défense de la langue française, et présidente – fondatrice de la Maison de la Francophonie de Malabo en Guinée – Equatoriale, la toute pre

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