Quantcast
Channel: Cameroon News! Actualité du Cameroun - iCameroon
Viewing all 17845 articles
Browse latest View live

Buffon, il laisse un record à l'Europe

$
0
0
Éliminé en barrages de la Coupe du Monde, Gianluigi Buffon met un terme à sa carrière internationale après 175 sélections avec l'Italie, record d'Europe ! UEFA.com fait le tour d'Europe des joueurs qui ont le plus porté le maillot de … Continue reading

Un soldat de la GP tire sur un civil

$
0
0

CAMEROUN :: Un soldat de la GP tire sur un civil :: CAMEROON

L’élément de la garde présidentielle a fait usage de son arme suite à une altercation avec un mécanicien.

Depuis hier 13 novembre, un militaire de la Garde présidentielle(Gp) a été remis à la gendarmerie de Madagascar pour la su

New Solar Panel Design Could Charge Your Phone With Ambient Light

Arabie: le roi Salmane reçoit le patriarche maronite libanais, une première

$
0
0

Le roi Salmane d’Arabie saoudite a reçu mardi le patriarche maronite libanais, le cardinal Bechara Raï, une première historique dans le royaume au moment où Ryad accentue la pression sur le Hezbollah, allié de l’Iran.

Arrivé lundi à Ryad, Mgr Bechara Raï a également rencontré le Premier ministre libanais démissionnaire Saad Hariri, qui a annoncé il y a dix jours sa démission soudaine depuis la capitale saoudienne et dont le sort fait l’objet d’intenses spéculations.

Il s’agit de la première visite en Arabie saoudite d’un haut responsable libanais depuis cette annonce. Le 4 novembre, M. Hariri avait dénoncé la mainmise sur son pays de l’Iran chiite et du Hezbollah, mouvement libanais membre du gouvernement et rival de l’Arabie sunnite.

Le patriarche et le roi ont “évoqué les relations fraternelles entre le royaume et le Liban et confirmé l’importance du rôle des différentes religions et cultures pour promouvoir la tolérance et renoncer à la violence”, a rapporté l’agence officielle saoudienne SPA.

Le dignitaire religieux libanais doit également rencontrer le prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane.

La visite de Mgr Raï est la première d’un patriarche maronite en Arabie saoudite, a souligné le patriarcat dans un communiqué. Elle marque un rare moment d’échange interreligieux dans le royaume ultraconservateur, qui recèle les lieux les plus saints de l’islam.

Cette visite “illustre l’approche du royaume en faveur de la coexistence pacifique, de la proximité et de l’ouverture à toutes les parties de la population arabe”, a écrit sur Twitter le ministre saoudien en charge des relations avec les pays du Golfe, Thamer al-Sabhan.

La démission de M. Hariri, qui a plongé le Liban dans la crise, est survenue alors que la tension monte entre l’Arabie saoudite, sunnite, et l’Iran chiite, qui soutiennent des parties opposées dans des conflits comme ceux que connaissent notamment la Syrie et le Yémen.

La classe politique libanaise estime que M. Hariri est détenu contre son gré en Arabie saoudite, bien qu’il ait assuré dimanche qu’il allait rentrer “très bientôt” dans son pays.

Le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian a fait savoir que la France était “préoccupée de la situation au Liban”, appelant à la “non-ingérence” au pays du Cèdre. Il doit se rendre jeudi à Ryad, où le président Emmanuel Macron s’est déjà rendu une semaine plus tôt.

Cet article Arabie: le roi Salmane reçoit le patriarche maronite libanais, une première est apparu en premier sur Journal du Cameroun.

Activités de Lafarge en Syrie: perquisition au siège du cimentier à Paris

$
0
0

Une perquisition était en cours mardi au siège de Lafarge à Paris, soupçonné d’avoir indirectement financé des groupes jihadistes en Syrie, dont l’organisation Etat islamique (EI), a-t-on appris de source proche du l’enquête et auprès du cimentier.

« Les enquêteurs français sont en train de perquisitionner nos locaux », a indiqué une porte-parole de Lafarge à l’AFP, confirmant une information de France Inter.

« Nous coopérons pleinement avec les enquêteurs, mais nous ne pouvons faire davantage de commentaires sur cette enquête en cours », a-t-elle ajouté.

Les investigations, menées depuis juin par trois juges d’instruction, s’attachent à déterminer si le géant du ciment a transmis de l’argent à certains groupes, notamment l’EI, pour continuer à faire fonctionner en 2013 et 2014, malgré le conflit, la cimenterie de Jalabiya (nord du pays).

Les enquêteurs cherchent aussi à savoir si des responsables du groupe en France avaient eu connaissance de tels accords et du danger qu’ils ont pu faire courir aux employés syriens sur place.

Le scandale avait été révélé en juin 2016 par une enquête du journal Le Monde qui avait mis en lumière de « troubles arrangements » entre Lafarge Cement Syrie (LCS), branche syrienne du groupe, et l’organisation État islamique alors que le groupe jihadiste gagnait du terrain et devenait incontournable dans la région.

Deux mois plus tard, le ministère de l’Économie avait déposé plainte, déclenchant l’ouverture d’une enquête préliminaire par le parquet de Paris, confiée au Service national de douane judiciaire (SNDJ).

Dans son rapport, dont l’AFP a eu connaissance, le SNDJ conclut que LCS a « effectué des paiements aux groupes jihadistes » pour que la cimenterie continue à fonctionner.

La direction française du groupe Lafarge, qui a fusionné en 2015 avec le suisse Holcim, « a validé ces remises de fonds en produisant de fausses pièces comptables », ajoute le SNDJ dans ce document.

D’anciens responsables du cimentier ont affirmé que cette volonté de rester coûte que coûte dans le pays en guerre avait reçu l’aval des autorités françaises et l’association anticorruption Sherpa, qui a également déposé plainte au nom de onze ex-salariés syriens de la cimenterie, a demandé que l’ancien ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius soit entendu.

A ce jour, les magistrats instructeurs ont auditionné plusieurs ex-employés syriens de l’usine.

Cet article Activités de Lafarge en Syrie: perquisition au siège du cimentier à Paris est apparu en premier sur Journal du Cameroun.

Etats-Unis: Trump Jr publie ses échanges avec WikiLeaks

$
0
0

Le fils aîné du président américain Donald Trump a publié ses échanges avec WikiLeaks après des informations de presse évoquant des contacts secrets avec ce groupe qui a publié les courriels d’Hillary Clinton durant la campagne présidentielle.

Cherchant manifestement à minimiser un article du magazine The Atlantic révélant lundi ces échanges, Donald Trump Jr a dévoilé ce qui constitue selon lui la chaîne “intégrale” de ses échanges avec WikiLeaks en messages privés sur Twitter entre septembre 2016 et juillet 2017.

Le groupe militant cherchait à donner des informations à l’équipe de campagne de M. Trump et augmenter l’impact de ses révélations sur Mme Clinton.

La publication par Trump Jr de ses échanges avec WikiLeaks, également réalisée sur Twitter, montre une douzaine de messages provenant du groupe et ce qu’il a désigné comme “mes 3 réponses spectatulaires”.

Dans ses messages, WikiLeaks l’informe d’un nouveau site web anti-Trump, réclame que son père tweete à propos des dossiers révélés par le groupe sur Clinton et avertit que s’il perdait l’élection, le candidat républicain devrait mettre en question le résultat.

Le groupe militant demande également à Trump Jr de lui fournir une déclaration de revenus de son père, assurant que “cela améliorerait énormément la perception de notre impartialité” tout en favorisant l’écho des révélations sur Mme Clinton.

En avril, alors que les enquêteurs sur une éventuelle collusion de la Russie avec la campagne de M. Trump s’intéressent à une rencontre en juin 2016 de Trump Jr avec une avocate russe, WikiLeaks lui demande des courriels à propos de cette rencontre.

Trump Jr n’a répondu qu’à trois messages initiaux, remerciant WikiLeaks pour les informations sur le nouveau site web, émettant un commentaire désobligeant à propos de Mme Clinton et demandant le 3 octobre 2016, juste avant la publication annoncée par WikiLeaks de révélations embarrassantes pour la candidate républicaine, des détails sur cette fuite.

Même s’il n’a pas répondu à la plupart des messages de WikiLeaks, le fils du président n’a pas réagi lorsque le nouveau site web a été évoqué.

De son côté, le fondateur de WikiLeaks Julian Assange a assuré sur Twitter que les messages de son groupe s’inscrivaient dans le cadre d’un effort promotionnel. “WikiLeaks peut se montrer très efficace pour convaincre des personnes, même très haut placées, qu’il en va de leur intérêt de promouvoir ses publications”, selon lui.

Cet article Etats-Unis: Trump Jr publie ses échanges avec WikiLeaks est apparu en premier sur Journal du Cameroun.

Top 5 des France-Allemagne

$
0
0
La France et l'Allemagne se retrouvent mardi soir pour écrire un nouveau chapitre d'une longue histoire. Retour sur leurs précédentes confrontations. Deux ans après la funeste soirée du 13 novembre, en amical au Stade de France (Giroud, 45e ; Gignac, … Continue reading

Nord-Ouest et Sud-Ouest : la crise et «le temps du président»

$
0
0

CAMEROUN :: Nord-Ouest et Sud-Ouest : la crise et «le temps du président» :: CAMEROON

«Que va-t-il encore nous promettre après 35 ans de pouvoir ? ». Beaucoup de Camerounais se posent cette question, en validant l’hypothèse selon laquelle le chef de l’Etat, Paul Biya (84 ans), va briguer un nouveau mandat en 2018 à la magistrature supr&eci


Cameroun : les députés SDF boycottent l’ouverture de la session parlementaire

$
0
0

Ils s’insurgent contre « l’inertie » du gouvernement dans la résolution de la crise anglophone.

La session parlementaire s’est ouverte ce mardi 14 novembre 2017  en l’absence des 18 députés du Social democratic front(SDF), principal parti d’opposition au Cameroun. Leur absence a été constatée avant l’ouverture de cette session consacrée à l’examen du budget de l’Etat pour l’année 2018.

Le groupe parlementaire annonce une conférence de presse dans les prochaines heures, sans doute pour expliquer les raisons de ce boycott. Contacté par Journalducameroun.com, Jean-Michel Nintcheu, député SDF du Wouri a avancé quelques éléments de réponse. « Le Cameroun est en crise, [en référence à la crise anglophone, Ndlr] et le SDF est préoccupé par tout ce qui se passe. Donc, notre réaction c’est par rapport à l’inertie du gouvernement face au problème anglophone », déclare l’homme politique.

De son côté, lors de la cérémonie d’ouverture de la session budgétaire de ce mois, Cavaye Yeguie Djibril, le président de l’Assemblée nationale, n’aurait pas mentionné du mouvement de ses collègues de l’opposition.

Cet article Cameroun : les députés SDF boycottent l’ouverture de la session parlementaire est apparu en premier sur Journal du Cameroun.

Les grandes dates de Françoise Héritier

$
0
0

Les grandes dates de l’anthropologue Françoise Héritier :

1933 : naissance à Veauche (Loire).

1946 : arrive à Paris pour suivre ses études. D’abord lycéenne puis à étudiante à la Sorbonne.

1957 : première mission d’étude en Afrique suivie de plusieurs autres.

1967 (jusqu’en 1982) : rejoint le CNRS où elle sera maître de recherches.

1982 : succède à Claude Lévi-Strauss au Collège de France (chaire d’Étude comparée des sociétés africaines).

1984 (jusqu’en 1995) : préside le Conseil national du Sida.

1994 : essais, “Les Deux Sœurs et leur Mère” et “De l’inceste” (avec Boris Cyrulnik et Aldo Naouri).

2002 : essais, “Masculin, féminin” (2 volumes : “La pensée de la différence” (1996) et “Dissoudre la hiérarchie”).

2005 : essais “De la violence I et II”

2012 : livre, “Le sel de la vie”, un succès public.

2014 : Grand officier de la Légion d’honneur.

2017 : livre “Au gré des jours”. Prix spécial du jury du Femina pour l’ensemble de son œuvre. Mort le jour de son 84e anniversaire.

Cet article Les grandes dates de Françoise Héritier est apparu en premier sur Journal du Cameroun.

Le Venezuela, ruiné, obtient un coup de pouce financier de Moscou

$
0
0

Le Venezuela, déclaré en défaut partiel sur sa dette tout comme son joyau pétrolier PDVSA, a obtenu mercredi à Moscou un coup de pouce financier de la Russie, l’un de ses principaux créanciers, un répit loin de le tirer d’affaires.

Etranglé par la chute des cours du pétrole et les sanctions américaines, Caracas assure être « bon payeur » mais les mauvaises nouvelles se succèdent pour le pays où la population souffre déjà de graves pénuries d’aliments et de médicaments, faute d’argent pour les importer.

Arrivée mercredi matin à Moscou, une délégation menée par le ministre des Finances du Venezuela Simon Zerpa a signé un accord restructurant un crédit russe de près de trois milliards de dollars accordé en 2011 pour acheter des armements russes, a indiqué une source diplomatique à l’AFP.

Les modalités de l’accord devaient être rendus publics lors d’une conférence de presse du ministre vénézuélien plus tard dans la journée. Son homologue russe Anton Silouanov avait indiqué en octobre qu’il devrait consister à reporter à plus tard une grande partie des remboursements.

Au-delà de cette opération, Moscou « n’a reçu aucune demande » de Caracas pour une aide supplémentaire, a déclaré à la presse le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov.

Ce répit reste loin de répondre à l’ampleur des difficultés financières de Caracas, qui cherche à restructurer une dette totale estimée autour de 150 milliards de dollars.

Rien qu’envers la Russie, sa dette est surtout constituée de diverses échéances entre entreprises, dans une relative opacité, dont six milliards de dollars versés en avance par le pétrolier semi-public Rosneft à la compagnie vénézuélienne PDVSA.

Pour la Chine, son principal créancier, les experts estiment les sommes en jeu à plusieurs dizaines de milliards de dollars. Mais pour Pékin, « le gouvernement et le peuple vénézuéliens ont la capacité de gérer de façon appropriée leurs propres affaires, y compris leur problème de dette », a déclaré Geng Shuang, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères

L’accord signé mercredi à Moscou permet « aux deux parties de garder la face et de gagner du temps, car désormais la question de la dette vénézuélienne ne peut plus être résolue d’aucune manière », explique à l’AFP Anton Tabakh, économiste en chef de l’agence de notation RAEX.

– ‘On s’en fout’ –

Coup sur coup lundi et mardi, les agences de notation S&P Global Ratings puis Fitch ont décidé de placer le Venezuela en défaut partiel, constatant que son gouvernement n’avait pas réussi à payer, à l’issue du délai de grâce de 30 jours, des échéances sur sa dette extérieure.

Les deux agences ont pris une décision similaire envers le fleuron de l’industrie vénézuélienne, le groupe pétrolier public PDVSA, critiqué pour avoir tardé jusqu’à une semaine pour régler deux échéances d’un montant total de deux milliards.

« Nous sommes de bons payeurs malgré ce que disent les agences de notation, le département du Trésor (américain), l’Union européenne et Donald Trump », s’est défendu mardi le ministre de la Communication, Jorge Rodriguez.

« On s’en fout, nous allons payer d’un commun accord avec les détenteurs de bons », a-t-il ajouté, augurant d’un succès des négociations engagées avec les créanciers sur une restructuration de la dette.

– Répit des créanciers

Le geste de Moscou envers son allié stratégique sud-américain s’ajoute au court répit obtenu par PDVSA: l’association internationale des produits dérivés (ISDA), réunie à New York, a renoncé à trancher dans l’immédiat la question d’un défaut de paiement de 1,161 milliard le concernant, en attendant d’ »obtenir des informations claires sur le calendrier des paiements effectués ».

Ce comité spécialisé composé de 15 sociétés financières se réunira de nouveau jeudi à New York.

Redoutée depuis des semaines, l’annonce de défaut partiel du pays pourrait précéder un défaut général, en d’autres termes une incapacité totale de payer ses dettes.

Pour empêcher cette issue, le président Maduro avait convoqué lundi à Caracas les créanciers internationaux afin de renégocier ses conditions d’emprunt. La réunion, d’à peine 25 minutes, s’est achevée sans accord.

Le Venezuela, ruiné notamment par la chute des cours de l’or noir, ne dispose plus que de 9,7 milliards de réserves et doit rembourser au moins 1,47 milliard d’ici fin 2017, puis 8 milliards en 2018.

S&P comme Fitch s’inquiètent aussi des sanctions du gouvernement américain, qui interdit à ses citoyens et banques d’accepter tout accord des autorités vénézuéliennes, ce qui devrait compliquer et allonger les discussions avec les créanciers. Selon Caracas, 70% d’entre eux sont Nord-Américains (Etats-Unis et Canada).

Le pays, autrefois le plus riche d’Amérique latine, risque de se retrouver coupé des marchés, tout comme PDVSA, et de devoir affronter des poursuites et la saisie d’actifs et de filiales à l’étranger.

Il est déjà sous pression de la communauté internationale, qui dénonce la radicalisation du président Maduro. Lundi, l’Union européenne lui a infligé des sanctions, dont un embargo sur les livraisons d’armes.

Cet article Le Venezuela, ruiné, obtient un coup de pouce financier de Moscou est apparu en premier sur Journal du Cameroun.

Le soldat nord-coréen qui a fait défection toujours dans un état grave

$
0
0

Le militaire nord-coréen blessé par balle lundi par l’armée nord-coréenne alors qu’il fuyait vers le Sud a été opéré pour la seconde fois, mais demeure dans un état grave, a annoncé mercredi un de ses médecins sud-coréens.

Le soldat a été visé par une quarantaine de tirs, dont au moins six qui l’ont touché, après s’être lancé dans une course éperdue pour traverser la frontière dans la “zone commune de sécurité” (JSA) à Panmunjom, seul secteur de la Zone démilitarisée (DMZ) où les deux armées rivales se font face.

Lee Cook-Jong, un des médecins le suivant, a indiqué que la seconde opération chirurgicale subie par le militaire nord-coréen s’était bien passée, mais précisé qu’il devrait probablement de nouveau être opéré car son état demeurait grave.

Le soldat est sous respirateur artificiel, a-t-il ajouté.

Il est très rare que des militaires nord-coréens passent au Sud par la JSA, qui est une attraction touristique majeure pour les étrangers visitant la Corée du Sud.

Lundi, ce soldat est arrivé en voiture à proximité de la frontière, avant de se lancer dans une course folle sous les balles nord-coréennes pour aller s’abriter près d’un bâtiment du côté Sud.

Cette défection intervient à un moment particulièrement tendu sur la péninsule, en raison de la poursuite des programmes nucléaire et balistique de la Corée du Nord.

L’armée sud-coréenne a précisé qu’il n’y avait eu aucun échange de coups de feu entre le Nord et le Sud à l’occasion de cette défection, survenue en plein jour.

Cet article Le soldat nord-coréen qui a fait défection toujours dans un état grave est apparu en premier sur Journal du Cameroun.

Zimbabwe: le président Mugabe détenu par l’armée déployée dans la capitale

$
0
0

L’armée zimbabwéenne a placé mercredi le président Robert Mugabe en résidence surveillée et pris le contrôle de la capitale Harare lors d’une opération visant, selon elle, les « criminels » qui entourent le plus vieux dirigeant en exercice au monde, âgé de 93 ans.

« Ce n’est pas un coup d’Etat militaire contre le gouvernement (…) Nous ne faisons que viser les criminels qui entourent » le président, a déclaré un haut responsable militaire lors d’une allocution diffusée en pleine nuit par la télévision nationale.

« Dès que notre mission sera accomplie, nous nous attendons à ce que la situation retourne à la normale », a ajouté le général Sibusiso Moyo.

L’entrée en scène de l’armée, une première dans ce pays pauvre d’Afrique australe, intervient sur fond de bataille pour la succession de Robert Mugabe, alimentée par sa santé fragile et son grand âge.

Le chef de l’armée est entré en conflit ouvert avec le chef de l’Etat après le limogeage la semaine dernière du vice-président Emmerson Mnangagwa, longtemps présenté comme le dauphin de Robert Mugabe et proche des milieux militaires.

Mercredi matin, des soldats et des véhicules blindés barraient l’accès des véhicules au Parlement, au siège du parti au pouvoir, la Zanu-PF, et à la Cour suprême, ont constaté des journalistes de l’AFP. Les bureaux où le chef de l’Etat réunit ses ministres étaient également encerclés par des troupes.

Le président Mugabe était lui-même retenu à son domicile par les forces armées. Lors d’un entretien téléphonique avec son homologue sud-africain Jacob Zuma, il a précisé qu’il allait bien.

– ‘Sains et saufs’ –

Un témoin avait précédemment rapporté à l’AFP avoir entendu des échanges de coups de feu nourris près de sa maison « peu après 02H00 du matin » (00H00 GMT).

« Nous assurons à la Nation que son Excellence le président (…) et sa famille sont sains et saufs et que leur sécurité est garantie », a assuré le général Moyo dans son intervention télévisée.

Des journalistes de l’AFP ont de leur côté constaté que, en dehors des sites stratégiques, la capitale fonctionnait normalement. La télévision nationale a en revanche interrompu ses programmes pour diffuser de la musique.

Fidèle soutien de M. Mugabe, le président sud-africain Jacob Zuma s’est déclaré hostile à tout changement de régime « inconstitutionnel » chez son voisin.

« Très préoccupé » par la situation, M. Zuma a dépêché, au nom du bloc régional SADC qu’il préside, deux envoyés spéciaux pour qu’ils rencontrent le président Mugabe et des responsables militaires.

L’Union européenne (UE) s’est dite préoccupée par la situation et a appelé au « dialogue » en vue d’une « résolution pacifique » de la crise.

Après plusieurs jours de très vives tensions, l’opération de l’armée, jusque-là considérée comme un pilier du régime, constitue un défi sans précédent à l’autorité de Robert Mugabe.

Lundi, le chef d’état-major, le général Constantino Chiwenga, avait publiquement dénoncé la décision du chef de l’Etat de limoger le vice-président Mnangagwa. L’armée pourrait « intervenir » si cette « purge » ne cessait pas au sein du parti présidentiel, avait-il mis en garde.

Le parti du président a accusé en retour mardi le militaire de « conduite relevant de la trahison » et dénoncé sa volonté « d’encourager au soulèvement ».

– Poison –

Le général Chiwenga et M. Mnangagwa ont tous deux été des figures majeures de la lutte pour l’indépendance de cette ancienne colonie britannique, au côté de l’actuel chef de l’Etat.

« Je ne pense pas que Mugabe ait encore le contrôle total de la situation », a commenté à l’AFP l’analyste politique David Moore, de l’université de Johannesburg. « L’armée semble suivre une seule direction, et c’est celle imposée par son chef », a-t-il ajouté.

L’ancien vice-président Mnangagwa, 75 ans, a été démis de ses fonctions la semaine derrière et contraint à l’exil après un bras de fer avec la Première dame, Grace Mugabe, 52 ans, qui ne cache pas son ambition de succéder à son époux.

Il a accusé la deuxième épouse du président d’avoir tenté de l’empoisonner pour l’éliminer, suscitant une vive réaction de l’intéressée qui a obtenu son éviction.

Figure controversée, connue pour ses accès de colère et son goût du luxe, Mme Mugabe, qui dirige la puissante Ligue des femmes de la Zanu-PF, compte de nombreux opposants au sein du parti au pouvoir et du gouvernement.

A la tête depuis trente-sept ans d’un régime autoritaire et répressif, Robert Mugabe a déjà été investi par la Zanu-PF pour la présidentielle de 2018, malgré son âge et sa santé fragile.

Cet article Zimbabwe: le président Mugabe détenu par l’armée déployée dans la capitale est apparu en premier sur Journal du Cameroun.

Robert Mugabe, héros de l’indépendance devenu despote

$
0
0

Par défi, il avait un jour promis de fêter ses 100 ans au pouvoir. Le président du Zimbabwe Robert Mugabe devrait être poussé vers la sortie à seulement 93 ans, incarnation jusqu’à la caricature du despote africain prêt à tout pour perpétuer son règne.

Accueilli en 1980 en héros de l’indépendance loué par l’Occident, le plus vieux chef d’Etat en exercice de la planète a été placé mercredi en détention par l’armée, après plus de trente-sept ans d’un pouvoir sans partage qui a ruiné son pays.

“Il fut un formidable dirigeant dont le pouvoir a dégénéré au point de mettre le Zimbabwe à genoux”, résume Shadrack Gutto, professeur à l’Université sud-africaine Unisa.

Et pourtant. Lorsqu’il a pris les rênes de l’ex-Rhodésie dirigée par la minorité blanche, Robert Mugabe a séduit.

Sa politique de réconciliation, au nom de l’unité du pays, lui vaut des louanges générales, particulièrement dans les capitales étrangères. “Vous étiez mes ennemis hier, vous êtes maintenant mes amis”, lance l’ex-chef de la guérilla.

Il offre des postes ministériels clés à des Blancs et autorise même leur chef, Ian Smith, à rester au pays.

Bardé de diplômes, le révolutionnaire Mugabe apparaît comme un dirigeant modèle. En dix ans, le pays progresse à pas de géant: construction d’écoles, de centres de santé et de nouveaux logements pour la majorité noire.

Très tôt pourtant, le héros a la main lourde contre ses opposants.

- ‘Dictateur’ -

Dès 1982, il envoie l’armée dans la province “dissidente” du Matabeleland (sud-ouest), terre des Ndebele et de son ancien allié pendant la guerre, Joshua Nkomo. La répression, brutale, fait environ 20.000 morts.

Mais le monde ferme les yeux. Il faudra attendre les années 2000, ses abus contre l’opposition, des fraudes électorales et surtout sa violente réforme agraire pour que l’idylle s’achève.

Affaibli politiquement, déstabilisé par ses compagnons d’armes de la guerre d’indépendance, Robert Mugabe décide de leur donner du grain à moudre en les lâchant contre les fermiers blancs, qui détiennent toujours l’essentiel des terres du pays.

Des centaines de milliers de Noirs deviennent propriétaires, mais au prix de violences qui contraignent la plupart des 4.500 fermiers blancs à quitter le pays et font la “une” des médias occidentaux.

Le petit homme aux épaisses lunettes incarnait la réussite d’une Afrique indépendante. Il rejoint alors définitivement le rang des parias, ce dont il s’accommodera bien volontiers.

Dans des diatribes anti-impérialistes au vitriol, Robert Mugabe rend l’Occident responsable de tous les maux de son pays, notamment sa ruine financière, et rejette toutes les accusations de dérive autoritaire.

“Si des gens disent que vous êtes un dictateur (…) vous savez qu’ils le font surtout pour vous nuire et vous ternir, alors vous n’y prêtez pas attention”, confie-t-il en 2013.

- Santé fragile -

Dans les dernières années de sa vie, il balaie de la même façon les spéculations sur son état de santé. La rumeur le dit malade d’un cancer, son entourage explique ses fréquents séjours à Singapour par le traitement d’une cataracte.

“Mes 89 ans ne signifient rien”, plastronne-t-il en 2013 juste avant sa énième réélection. “Est-ce qu’ils m’ont changé ? Ils ne m’ont pas flétri, ni rendu sénile, non. J’ai encore des idées, des idées qui doivent être acceptées par mon peuple”.

Malgré ces assurances, sa santé décline. En 2015, il est surpris à prononcer le même discours d’ouverture de la session parlementaire que l’année précédente.

Les photos de ses siestes pendant les réunions internationales n’en finissent plus de faire rire la planète.

Ses adversaires le soupçonnent d’être tombé sous la coupe de sa deuxième épouse Grace. L’ancienne secrétaire est devenue de plus en plus ambitieuse et s’invite dans la course à sa succession.

Elle obtient de son mari la tête de la vice-présidente Joyce Mujuru en 2014, puis celle du vice-président Emmerson Mnangagawa il y a quelques jours. Le limogeage de trop, puisque c’est celui qui convainc l’armée de se débarrasser du vieux président…

Né le 21 février 1924 dans la mission catholique de Kutama (centre), Robert Gabriel Mugabe est décrit comme un enfant solitaire et studieux, qui surveille son bétail un livre à la main.

Il caresse un temps l’idée de devenir prêtre. Il sera enseignant.

- Soif de pouvoir -

Séduit par le marxisme, il découvre la politique à l’université de Fort Hare, la seule ouverte aux Noirs dans l’Afrique du Sud de l’apartheid. En 1960, il s’engage dans la lutte contre le pouvoir rhodésien, blanc et ségrégationniste.

Arrêté quatre ans plus tard, il passe dix années en détention, qui lui laissent un goût amer: les autorités lui refusent d’assister aux obsèques du fils de 4 ans que lui a donné sa première femme, Sally Hayfron, morte en 1992.

Peu après sa libération, il trouve refuge au Mozambique voisin, d’où il prend la tête de la lutte armée, jusqu’à l’indépendance de son pays et son arrivée au pouvoir.

Tout au long de son parcours, il fait preuve d’une détermination et d’une intelligence sans faille.

“Mugabe n’était pas humain”, se souvient l’ancien secrétaire britannique aux Affaires étrangères Peter Carrington, qui a négocié avec lui l’indépendance. “Vous pouviez admirer ses qualités et son intellect (…) mais il était terriblement fuyant”.

Jusqu’au bout, ses adversaires lui reprochent sa soif inextinguible de pouvoir.

“Mugabe s’est maintenu au pouvoir en (…) écrasant ses opposants, violant la justice, piétinant le droit à la propriété, réprimant la presse indépendante et truquant les élections”, estime Martin Meredith, un de ses biographes.

Malgré ces critiques, il a toutefois gardé jusqu’au bout son aura de libérateur chez ses voisins africains. Dans la capitale namibienne Windhoek, la longue avenue Robert Mugabe coupe l’avenue Nelson Mandela, prix Nobel de la paix et icône, lui, mondiale.

Cet article Robert Mugabe, héros de l’indépendance devenu despote est apparu en premier sur Journal du Cameroun.

Zimbabwe: du limogeage du vice-président à la détention du Mugabe

$
0
0

Rappel des principaux développements au Zimbabwe de la destitution du vice-président Emmerson Mnangagwa, il y a dix jours, à l’annonce de la détention de Robert Mugabe par l’armée, qui a pris le contrôle de la capitale Harare.

Le limogeage de M. Mnangagwa, longtemps présenté comme le dauphin de Robert Mugabe, a provoqué une crise ouverte entre le président et le chef de l’armée. Il a été interprété par l’opposition comme une manoeuvre destinée à ouvrir la voie à la Première dame pour succéder, le moment venu, à son époux, âgé de 93 ans.

– Le vice-président limogé –

Le 6 novembre, Robert Mugabe limoge « avec effet immédiat » Emmerson Mnangagwa, après des semaines de tensions au sommet de l’Etat entre le vice-président et Grace Mugabe.

« Il est devenu évident que son comportement dans l’exercice de ses fonctions est devenu incohérent avec ses responsabilités officielles », affirme le ministre de l’Information Simon Khaya Moyo.

La veille, Grace Mugabe avait annoncé qu’elle était prête le moment venu à succéder à son mari, et que le parti au pouvoir allait bientôt changer ses statuts pour qu’une femme soit vice-présidente.

Le 7 novembre, le Chronicle, un quotidien d’Etat, accuse M. Mnangagwa de comploter en vue de « s’emparer du pouvoir ».

– Défi au couple Mugabe –

Le 8 novembre, Emmerson Mnangagwa annonce avoir quitté son pays en raison des « menaces incessantes », mais promet de défier Robert Mugabe et son épouse. « Le temps est venu de dire non aux demi-dieux et personnes qui sont autocentrées et ne pensent qu’à elles-mêmes et leur famille ».

La Zanu-PF (au pouvoir) « n’est pas votre propriété personnelle ni celle de votre épouse », lance M. Mnangagwa, promettant de « revenir au Zimbabwe pour diriger » le parti.

Selon ses proches, Emmerson Mnangagwa a fui le Zimbabwe pour l’Afrique du Sud.

Dans la soirée, la Zanu-PF annonce son expulsion, sur décision « unanime » du politburo, l’organe suprême de décision du parti.

– Mise en garde du chef de l’armée –

Le 13 novembre, le chef de l’armée, le général Constantino Chiwenga, adresse une mise en garde sans précédent au parti de Mugabe, dénonçant l’éviction du vice-président. « La purge actuelle qui vise clairement les membres du parti (…) doit cesser immédiatement ». « Nous devons rappeler à ceux qui sont derrière ces dangereuses manigances que lorsqu’il s’agit de protéger notre révolution, l’armée n’hésitera pas à intervenir », menace-t-il.

M. Mnangagwa, qui a reçu le soutien des anciens combattants de la guerre d’indépendance au Zimbabwe, entretient des liens étroits avec les militaires, étant à la fois un ancien ministre de la Défense et un ex-patron des services secrets du Zimbabwe.

– L’armée contrôle Harare –

Le 14 novembre, la Zanu-PF affirme que les critiques du chef de l’armée étaient « clairement destinées à perturber la paix nationale (…) et démontrent une conduite relevant de la trahison ».

Quelques heures plus tard, un convoi de blindés est observé en mouvement près de la capitale. Des échanges de tirs nourris sont entendus près de la résidence privée de Mugabe à Harare.

Dans la nuit, des officiers annoncent être intervenus pour éliminer des « criminels » dans l’entourage du chef de l’Etat et démentent toute tentative de coup d’Etat.

Le 15 novembre, l’armée prend le contrôle des rues de la capitale.

Un communiqué de la présidence sud-africaine indique que Robert Mugabe a affirmé au téléphone à son homologue sud-africain Jacob Zuma qu’il était « détenu à son domicile » par l’armée mais « allait bien ». L’Afrique du Sud dépêche deux envoyés spéciaux au Zimbabwe.

Cet article Zimbabwe: du limogeage du vice-président à la détention du Mugabe est apparu en premier sur Journal du Cameroun.


La force du G5 Sahel devra convaincre aussi sur le plan humanitaire

$
0
0

La force conjointe du G5 Sahel, qui vient d’achever sa toute première opération, sera jugée non seulement sur son efficacité contre les jihadistes, mais aussi son respect des droits de l’Homme, préviennent organisations internationales et responsables militaires.

Juste après le lancement de cette opération, aux confins du Mali, du Burkina Faso et du Niger au début du mois, le secrétaire général adjoint des Nations unies pour les droits de l’Homme, Andrew Gilmour, a effectué une visite au Mali, une première, selon la Mission de l’ONU dans ce pays, la Minusma.

Il y a insisté sur la nécessité de respecter les droits de l’Homme, afin de ne pas s’aliéner les populations, ni le soutien international, essentiel à la viabilité de cette force basée à Sévaré, dans le centre du Mali, dont il a rencontré le chef, le général malien Didier Dacko, et l’état-major.

“Les violations commises dans le cadre d’opérations anti-terroristes et la stigmatisation de certaines communautés contribuent à la radicalisation d’une partie de la population et à l’aggravation de l’extrémisme”, a affirmé le responsable de l’ONU, citant l’expérience vécue par la quasi totalité des pays confrontés à ces phénomènes.

Les plus graves de ces violations “créent plus de terroristes qu’il n’y en avait avant”, a-t-il souligné.

Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), un des principaux acteurs humanitaires en zone de conflit, a tenu le même discours en début de semaine lors du Forum de Dakar sur la paix et la sécurité en Afrique, largement dominé par la constitution de la force du G5 Sahel (Mauritanie, Mali, Burkina Faso, Niger et Tchad).

“Soutenir les militaires sur des questions de financement et d’armement vient avec l’obligation de respecter et faire respecter la Convention de Genève”, a souligné le directeur adjoint du CICR pour l’Afrique, Patrick Youssef.

Le CICR “demande aux pays de la force G5 Sahel de respecter les règles liées à l’usage de la force, en matière de détention, en matière de formation”, a-t-il dit, ajoutant avoir appelé l’Union africaine, qui a accordé un mandat à cette initiative, à “veiller au respect de ces principes”.

- Reconquérir les populations -

Les promoteurs de cette force, dont seule une partie du financement est assurée, attendent des contributions supplémentaires lors d’un sommet consacré au Sahel organisé par l’Union européenne à Bruxelles à la mi-décembre.

Certaines troupes africaines engagées dans la Minusma, notamment le contingent tchadien, ont été accusées d’exactions ou d’usage excessif de la force sur des civils, des abus favorisés selon des sources militaires par la durée de leur déploiement, souvent d’un an, voire davantage.

L’armée malienne est confrontée à des critiques similaires, en particulier dans les régions peuplées de minorités ethniques, comme le nord et le centre du pays.

La force française Barkhane (4.000 hommes), qui traque les jihadistes à travers le Sahel et appuie les troupes du G5 Sahel, a d’ailleurs inscrit le droit des conflits armés au programme de son accompagnement des militaire maliens, a récemment indiqué à l’AFP le colonel Arnaud Cervera, représentant à Gao, dans le nord du Mali, du commandant de Barkhane.

“On ne peut pas se permettre d’avoir une force qui se délégitime par des exactions. On est très vigilants et ils savent bien que cela nous désolidariserait de leur action”, a-t-il assuré. “On leur dit bien qu’ici, on est dans une zone où les Famas (forces armées maliennes) ont besoin de retrouver une vraie légitimité, pour des raisons séculaires, ethniques…”

L’objectif initial de la force du G5 Sahel est de “reconquérir ces zones frontalières”, où les jihadistes ont souvent pris le pas sur les Etats et exercent leur emprise sur les populations, avait expliqué le général Dacko en octobre lors d’une visite des ambassadeurs du Conseil de sécurité de l’ONU au poste de commandement de Sévaré.

Dans un rapport au Conseil quelques jours auparavant exposant les options possibles pour un soutien de l’ONU à cette force, le secrétaire général de l’organisation, Antonio Guterres, soulignait l’importance de “minimiser les retombées négatives de ses opérations militaires sur la population civile, notamment les femmes et les enfants”.

Cet article La force du G5 Sahel devra convaincre aussi sur le plan humanitaire est apparu en premier sur Journal du Cameroun.

L’acte sexuel déclencheur d’arrêt cardiaque ?

$
0
0
Selon une étude, l’arrêt cardiaque soudain lié à un rapport intime est beaucoup plus courant chez les hommes que chez les femmes. Cependant l’activité sexuelle reste un facteur déclencheur rare. Des chercheurs ont étudié les bilans médicaux de 4 557 cas entre … Continue reading

Cameroun : Université des Montagnes : Le plus important don de livres réceptionné

$
0
0
Ce 9 novembre 2017, la montagne du savoir a vu son patrimoine être renforcé en matière de matériels didactiques et d’équipements médicaux les plus recherchés au monde.A tout seigneur, tout honneur, c’est le Pr Lazare Kaptué, guide de l’institution qui … Continue reading

Zimbabwe: Mugabe affirme être détenu, l&;#39;Afrique du Sud dépêche deux envoyés spéciaux

$
0
0

Zimbabwe: Mugabe affirme être détenu, l'Afrique du Sud dépêche deux envoyés spéciaux

Le président sud-africain Jacob Zuma a dépêché deux de ses ministres au Zimbabwe, où l'armée a pris le contrôle de la capitale Harare, après que Robert Mugabe a affirmé être détenu par l'armée.
“Le pr&eacu

RD Congo : USD 20 millions pour des besoins humanitaires urgents dans trois provinces

$
0
0

Le Fonds humanitaire pour la RD Congo vient d’allouer 20 millions USD pour répondre, pendant une période de six mois, aux besoins humanitaires urgents dans les provinces du Nord-Kivu, du Sud-Kivu et du Haut-Katanga, a annoncé mercredi la MONUSCO au cours de la conférence de presse hebdomadaire des Nations Unies.Il a été précisé que les déplacés internes de ces trois provinces dont le nombre n’a pas été déterminé, bénéficieront d’un appui pour les abris temporaires et les articles ménagers essentiels,  l’accès à l’eau potable, la sécurité alimentaire et aux intrants agricoles. 

Il est également prévu en leur faveur la prise en charge des maladies, dont la malnutrition ainsi que la protection des populations y compris la prise en charge des victimes des violences sexuelles.

Cet article RD Congo : USD 20 millions pour des besoins humanitaires urgents dans trois provinces est apparu en premier sur Journal du Cameroun.

Viewing all 17845 articles
Browse latest View live